Aera Group annonce des résultats en hausse pour le 1er semestre 2022

Paris, le 28 juillet 2022 – Aera a publié ce matin ses résultats intermédiaires arrêtés au 30 juin 2022 pour le 1^er semestre de l’année fiscale 2022. Le chiffres d’affaires atteint un montant record sur six mois de 13,3 millions d’euros de revenus, soit 122% de hausse par rapport à la même période en 2021. Le bénéfice net après impôt s’accroît à 2.9 millions d’euros, nouveau record sur un semestre.

Points principaux (janvier-juin 2022)

• Aera a livré plus de 1,3 million tCO2 sur le 1er semestre 2022. C’est deux fois moins que prévu en raison d’un retard important des registres internationaux dans le processus de délivrance des crédits carbone. Le temps d’attente provoqué par un flux croissant des projets a conduit à désorganiser les registres dans une proportion telle que les volumes émis par ces derniers ont été divisé par quatre depuis le début d’année par rapport à 2021. Aera maintient son objectif de 10 mtCO2 livrées sur l’exercice 2022, le retard de nombreuses délivrances devant être aboutir à des émissions au cours du second semestre.

• Aera a conclu 64 transactions pour un volume de vente de 5.1 mtCO2 sur 6 mois. L’activité commerciale a été soutenue par de nombreuses ventes à terme pour des livraisons attendues entre 2023 et 2027. Cette bonne performance est liée à une demande constante et croissante des secteurs pétroliers, gaziers, énergétiques et financiers notamment.

• Le volume de ventes d’Aera hors Europe continentale continue de s’accroître et devient largement majoritaire. Des transactions importantes ont été signées au Royaume-Uni, Australie, Canada et Etats-Unis (ces 4 pays représentant plus de 70% du carnet de commande d’Aera).

• Le stock de contrats signés par Aera s’accroît également et atteint désormais une marge totale sécurisée de 38 millions € d’ici 2030. Le potentiel global complémentaire de marges totales sur la base des positions actuelles est estimé à 161 millions € d’ici 2030.

« La demande de crédits carbone sur les marchés volontaires est forte malgré les craintes de récession mondiale et les incertitudes macroéconomiques. Les engagements de neutralité carbone à horizon 2050 sous-tendent des réglementations de plus en plus contraignantes en matière d’émissions CO2 et une action volontaire des entreprises renforcée. La compensation est un outil efficace pour orienter des revenus vers des projets de réduction carbone, notamment en Afrique. L’urgence climatique requiert une action d’ampleur. C’est notre ambition pour les mois à venir avec Aera. »

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